C'est la propriété corrézienne de Monsieur Jacques Chirac, ancien Président de la République, et de Madame Bernadette Chirac, Conseillère Générale du canton de Corrèze et conseillère municipale de Sarran.
"BONUS" JACQUES CHIRAC, LE CORRÉZIEN Ce BONUS a été créé sur notre site de Brive, dans la rubrique "A LA UNE", au moment du décès du Président Jacques Chirac, le 26 septembre 2019. Nous l'avons ensuite réintégré sur notre site de Corrèze, avec une nouvelle mise en page. Nous sommes ici à Brive, le 13 octobre 1970, sous les platanes de la Guierle, lors des obsèques solennelles d'Edmond Michelet. Jacques Chirac est très légèrement en retrait : il n'est encore "que" député de la circonscription d'Ussel. On reconnait en outre : - Sur sa droite, Jean Charbonnel, Maire de Brive et député de la circonscription, et Jacques Chaban-Delmas, Premier Ministre. - Sur sa gauche, Michel Debré, ancien Premier Ministre de 1959 à 1962, Alain Poher, Président du Sénat, et Achille Péretti, Président de l'Assemblée Nationale. Tous sont maintenant décédés. (Doc. AD19 - Cote 3Fi 385) Toujours à Brive, sous l'ancienne Halle couverte de la Guierle qui existait avant l'actuel marché couvert et la salle Geoges Brassens. C'était lors de l'un des Festivals annuels de l'élevage de la ville, qui depuis 1967 avaient succédé aux Comices agricoles. Nous sommes là, très certainement, en 1972. Lors de l'inauguration de la manifestation, on reconnait Jean Charbonnel, Maire de Brive, Jacques Chirac alors Ministre de l'Agriculture, et Roger Combes, adjoint au Maire. (Col. JPC) Nous voici ici à Soudeilles (19) en 1978. Jacques Chirac s'essaie à faire sauter les crêpes .... (photo de presse d'origine inconnue mise en vente en avril 2013 sur Internet) Voici maintenant à Tulle le 18 janvier 1980, un beau cliché d'agence de presse. Jacques Chirac et Jean Charbonnel sont réunis sous le portrait de Valéry Giscard d'Estaing. Un commentaire figure au verso : "Jean Charbonnel, Maire de Brive, et Jacques Chirac, tous deux corréziens, sont enfin réconciliés. Charbonnel, gaulliste de gauche, est de retour au R.P.R. La "famille" est réunie ?, aussi bien sur le plan national que régional". (Col. Maryse Chabanier - Cliché M. Gravos/Sygma)Retour à Brive pour le cliché suivant et son agrandissement partiel. Nous sommes à la veille des élections présidentielles de 1981. La gare routière urbaine est alors accolée au château d'eau de la Guierle (qui a bien triste allure). Les colleurs d'affiches électorales du candidat Chirac ont passé par là, et les flancs de la salle d'attente en sont recouverts. Les slogans du moment sont variés : . Maintenant regardons les problèmes en face, . Maintenant reprenons Confiance, . Maintenant, ensemble Agissons, . Jacques Chirac maintenant. (Col. Maryse Chabanier) (Cliquez sur les images pour les agrandir) Il prend connaissance des dernières nouvelles dans la presse avec, en particulier, la présentation du procès qui l'oppose, en tant que Maire de Paris au Ministre de l'Intérieur de l'époque, Gaston Deferre. Ce dernier sera condamné en première instance à 1500 francs d'amende et à verser 1 franc symbolique de dommages et intérêts à Jacques Chirac pour diffamation, après avoir accusé la Ville de Paris ainsi que son Maire d'avoir bénéficié de largesses et perçu de l'argent au profit de la municipalité, de la part du cercle de jeu Haussmann dirigé par Marcel Francesci, assassiné en mars 1982. Jacques Chirac est là à Corrèze, en Corrèze, le 18 juillet 1998, lors de l'arrivée de la septième étape du tour de France. Longue de 58 kilomètres disputés contre la montre, elle était partie de Meyrignac-l’Église (19). C'est celle qui a été marquée par l'exclusion de l'ensemble des coureurs de l'équipe Festina menée par Richard Virenque. Jan Ullrich, le grand favori, assumera son statut en remportant l'étape et en prenant le maillot jaune. (Col. Maryse Chabanier) Jacques Chirac est à l'arrivée de l'étape à Corrèze, lors de la remise du maillot jaune à Jan Ullrich. * Le décès de Jacques Chirac a par ailleurs eu une conséquence inattendue immédiate sur notre site de Corrèze. Alors qu'il bénéficie habituellement d'une quinzaine de visites par jour (moyenne sur 30 jours consécutifs), la page que nous y consacrons au Château de Bity, celle où vous êtes actuellement, en a reçu à elle seule 520 au total le jour du décès et les 2 jours suivants. Et ça a continuée très fort pendant une bonne semaine, en diminuant peu à peu au cours des trois semaines qui ont suivi. On doit cette fréquentation exceptionnelle aux moteurs de recherche où nos sites sont particulièrement bien répertoriés. Ce phénomène s'était déjà produit en juillet 2012, lorsque François Hollande, élu depuis peu Président de la République avait rendu une visite dite "de courtoisie et amicale" à son avant-dernier prédécesseur, à Bity. Elle avait alors fait le Buzz ! |