Cette famille de notables corréziens possédait autrefois au faubourg des Gaulies une villa entourée d'un vaste parc, tout au bout de l'avenue du Maréchal Bugeaud, à l'angle du boulevard Voltaire. Jean-Baptiste Monjauze, qui fut notaire à Objat, y est décédé en décembre 1903. Son fils Martial a été connu comme écrivain.
La villa en question est devenue l'auberge de jeunesse de Brive; des baraquements ont été ajoutés dans le parc, lorsqu'elle est devenue trop exigüe, avant la construction des bâtiments en dur qui subsistent de nos jours.
Mais c'est aussi dans le Parc Monjauze qu'ont été construits le foyer du jeune travailleur, et la piscine municipale : du parc, il ne reste rien.